MAGIK JET TEAM

 Infos Club 2012 :

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       GRAND EST 2012

Comité Régional Motonautique du Grand Est
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Le jet-ski à la folie Publié le lundi 04 juillet 2011 à 09H59 - Vu 54 fois 1 › 2 › 3  Une soixantaine de pilotes venus de tout le Grand Est, mais aussi d'Auvergne, de la région parisienne et de Belgique étaient de la partie et sur l'eau, la lutte a fait rage jusqu'au bout.  VIREUX-WALLERAND (Ardennes). Une soixantaine de passionnés se sont jetés à l'eau, hier dans la Meuse. Sensations fortes garanties, autant pour les pilotes que pour les spectateurs. JUSQU'À ce week-end, Paul, 8 ans, n'avait encore jamais vu de jet-ski de toute sa vie. Du moins, si l'on excepte ceux qui crèvent régulièrement l'écran de sa console de jeux vidéos ! « Mais finalement, en vrai, c'est encore mieux », assure le jeune Viroquois, visiblement ravi de pouvoir assister au spectacle avec Jules, son petit frère. « Forcément, vu que les pilotes ont l'air d'être des kamikazes, ça ne peut que leur plaire ! », sourit Marie-Noëlle, la grand-mère, tout en les surveillant du coin de l'œil. Et pour le coup, Mamie n'a pas tout à fait tort : si le « Jet » en jette autant, c'est d'abord grâce aux sensations fortes que la discipline procure aux pilotes et aux spectateurs. Demandez au Lorrain Thierry Kupp ce qu'il en pense ! Hier, à 11 h 05 très précises - quelques minutes seulement après le début de la compétition - le dossard N° 30 a été le premier à « s'offrir » un impressionnant vol plané. Fort heureusement, le pilote qui le suivait a réussi à l'éviter in extremis… Mais pour le coup, mieux valait avoir le cœur bien accroché ! D'autant qu'ensuite, les courses se sont enchaînées durant plusieurs heures, à l'initiative du club Action-Jet de Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle) et de la commune de Vireux-Wallerand, qui reste particulièrement attachée à ce rendez-vous toujours unique dans le département. Pas des clampins Hier, les abords du pont ont ainsi servi de cadre à la cinquième étape du championnat Grand Est. La toute dernière avant la grande finale, prévue à Mâcon (Saône-et-Loire) début septembre. Conséquence : les participants jouaient gros, ce dimanche. De quoi forcément les inciter à mettre les gaz, et parfois même jusqu'à 120 km/h pour les mastodontes affichant plus de 350 chevaux sous le capot ! Il faut dire aussi que, sur la ligne de départ, on était loin de retrouver des clampins. Jugez plutôt : hier, la triple championne du monde Audrey Dujardin, le Lyonnais David Dupin et le Normand Mathieu Betes, deux des meilleurs français du moment, étaient ainsi de la partie. On comprend mieux, maintenant, pourquoi c'était « si bien ». Texte et photos : Aurélien AVIGLIANO     Jet ski (championnat Grand Est) / ça en jette ! Publié le mardi 06 juillet 2010 à 10H26 - Vu 32 fois 1 › 2 › 3  Les bolides au moment de s'élancer. A cet instant de la course, la moindre erreur est souvent rédhibitoire.  Ardennes. Quarante-cinq pilotes, dont l'un des tout meilleurs Français, étaient en lice, dimanche à Vireux-Wallerand.  Les spectateurs, qui s'étaient massés en nombre sur les bords de la Meuse,  en ont pris plein la vue. «DIS papa, on s'arrête voir les bateaux ? » Donovan, 9 ans, n'a pas eu à insister trop longtemps pour être entendu. Le jeune Givetois s'est aussitôt retrouvé nez à nez avec quelques-uns des cracks du jet-ski français. Une première pour lui, comme pour la plupart des spectateurs présents ce dimanche sur les bords de la Meuse. Entre les premières vérifications techniques de la matinée et les ultimes coups de frein de l'après-midi, plusieurs centaines de personnes ont défilé sur les quais. Côté encouragements, les badauds n'ont eu que l'embarras du choix : au total, quarante-cinq pilotes - originaires de toute la moitié nord du pays - étaient en lice. Ces derniers faisaient escale à Vireux-Wallerand pour la troisième fois (après 2006 et 2009), à l'occasion de la 5e et avant-dernière manche du championnat Grand Est. Autant dire qu'à l'approche du verdict final, le spectacle et le suspense n'ont pas manqué. Chaque course a ainsi donné lieu à de jolies empoignades, sur un circuit particulièrement technique. « C'est l'un des plus durs de la saison, confirme le directeur de course, Thierry Scharff. Il faut dire que les rives sont toutes proches, ce qui a, à chaque fois, pour effet de renvoyer les vagues au milieu du parcours. » Dans ces conditions, réussir à maîtriser un bolide lancé à plus de 130 km/h constitue un authentique exploit. « Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le jet-ski est l'un des sports les plus physiques qui existent, précise le spécialiste, qui fut l'un des pionniers de la discipline dans l'est de la France. Pour briller, il faut être en parfaite condition et s'entraîner quasiment tous les jours ! » « Un vrai cascadeur » Particulièrement affûté, le grandissime favori Alexandre Louvet l'a encore prouvé ce week-end. Dimanche, le Beauvaisien a remporté les trois manches de run F1, considérée comme la discipline reine du jet à selle. Dix ans pile poil après avoir mis les gaz pour la première fois : « J'ai découvert ce sport totalement par hasard, se souvient-il. En regardant une course qui se déroulait pas loin de chez moi. » Depuis, beaucoup d'eau a coulé sous son jet. Vice-champion de France 2007, le jeune athlète fait aujourd'hui partie du gratin mondial. La semaine dernière, lors des championnats du monde de Porto-Vecchio, il détenait même le 4e temps provisoire avant de « s'offrir » un vol plané monumental. « C'est le meilleur cascadeur du circuit, chambre gentiment Thierry Scharff. Il commence à avoir l'habitude, maintenant… » Il faut dire qu'en Corse, le Picard n'en était pas à son coup d'essai. Plutôt fougueux, il s'est déjà amoché deux genoux et un coude en compétition. « Comme dans tout sport de vitesse, la pratique du jet-ski comporte certains risques, admet le directeur de course. Reste que chez nous, le taux d'accidentologie est de loin le plus faible. C'est pas le tout, mais le lundi matin, il faut que les pilotes soient frais et dispo pour reprendre le boulot… » Car en France, seule une dizaine d'athlètes sont professionnels. Pas Alexandre. Lui, est imprimeur, mais, il a tout de même la chance d'être pilote d'usine, c'est à dire d'être équipé par Rotax afin de tester leurs moteurs sur l'eau. Un coup de pouce loin d'être négligeable, surtout quand on sait que le prix de son bolide avoisine les 80.000 euros ! On peut cependant se lancer à moindre frais. Dans l'Hexagone, la discipline rassemble 2.000 adeptes, dont pas mal de femmes. A Vireux, dimanche, elles étaient sept sur la ligne de départ.. Mais ne cherchez pas d'Ardennais, et encore moins de Givetois ou de Viroquois : il n'y en avait malheureusement pas un seul sur la liste des engagés. Peut-être que la journée de dimanche aura fait naître quelques vocations. Donovan a, en tout cas, eu l'air d'apprécier… Aurélien AVIGLIANO    Vous trouverez en pièce jointe le calendrier 2011  des compétitions FFM.  Seules les courses inscrites à ce calendrier sont couvertes par votre licence/assurance compétition FFM 2011   Thierry SCHARFF ACTION JET 412 rue de Scarpone 54700 PONT A MOUSSON - FRANCE Tel : +33 (0)6 63 44 23 61 Email : thierry.scharff@actionsport.fr Le prix du carburant.............. à consulter avant de faire le plein